Le tourisme

 

Flâneur ou sportif on la découvre, à pied, à vélo, en VTT, à cheval, en bateau, en ULM... La Divatte ne  compte plus ses visiteurs d'un jour ou de toujours.


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    Plus sportif, des ponts de Mauves                    Le long de la Divatte à cheval, 
    aux ponts de Thouaré à l'aviron.                            promenade d'automne.



         Tout simplement à pied pour la beauté des paysages...

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Le projet touristique

L’association constatant combien il fallait de temps pour faire aboutir un projet a demandé au Conseil Général, dés 1999, d’étudier l’aménagement touristique futur de la Levée.
Notre slogan sur ce projet était «  Il faut anticiper ».
Dés 2001 le Conseil Général a mis en place une commission de retraitement de la Levée qui a abouti en 18 mois à un projet comprenant : la réduction de la vitesse, la proposition d’une piste cyclable et de chemin de promenade, l’aménagement des villages et la valorisation des paysages avec l’aménagement de certaines cales et des promontoires.
Malheureusement les maires se sont opposés à ce projet, se retranchant derrière des problèmes de responsabilité en cas d’accident, ou de difficultés d’installation de chicanes ou de ralentisseurs sur la chaussée enfin ils souhaitaient que cela ne coute rien à leur budget.
En 2004, le  changement  de majorité au Conseil Général a coupé court à toute discussion puisque le projet a purement et simplement été enterré. Malgré notre opiniâtreté pour faire renaître une concertation entre les communes et faire ressortir ce projet, il est à ce jour (fin 2008) encore au fond des tiroirs.
Il est quand même aberrant qu’un tel ouvrage, qui est le monument historique le plus important du secteur ne soit pas plus pris en compte par les collectivités locales pour sa dimension touristique.
 

Friches industrielles

L’association n’a eu de cesse de défendre une Levée propre et entretenue. Les sabliers qui avaient su profiter au maximum de l’extraction du sable, ont laissé sur place des trémies rouillées et des carcasses de péniches. 
Nous avons souvent été entendu, mais toutes ces friches industrielles étaient privées sur des sites privées, ce qui donnait un prétexte aux municipalités pour ne pas prendre ce problème à bras le corps.

Petit à petit le nettoyage s’est fait : plusieurs péniches et la trémie de Boire Courant, les péniches de la Boire d’Anjou et dernièrement les trémies de Coudrouse et de l’Officière.

Nous avions pensé un moment garder une mémoire industrielle de ces activités mais personne ne s’est accroché vraiment à cette idée dont les coûts auraient été de toutes manières élevés.